Chantier de foin en CUMA
Organisation du travail
Qui suis-je?
Né en 1971, j’ai suivi un cursus universitaire jusqu’au DEUG Technologie industriel et j’ai ensuite passé ma capacité professionnelle « Conduite d’une exploitation agricole » pour m’installer en décembre 2000 chef d’exploitation hors cadre familial au sein d’un GAEC.
C’est une exploitation laitière en Agriculture Biologique avec un atelier pommes de terre. Le GAEC compte deux associés et nous sommes adhérents à une CUMA.
Les objectifs:
Faciliter, optimiser et mutualiser la récolte de foin afin de pallier aux contraintes climatiques.
Les techniques:
Pourquoi?
Le regroupement de 3 exploitations pour gérer la fenaison en CUMA répond à la recherche d’un coût moindre, d’un besoin de main d’œuvre ponctuelle et d’un matériel efficace. C’est dans l’organisation des chantiers en fonction de la météo et des besoins en fourrage de chaque exploitation que réside l’efficacité du travail collectif.
Avec qui?
Le groupe est constitué de deux fermes laitières en Agriculture Biologique et d’une ferme en vaches allaitantes. Deux presses balles rondes permettent de faire les 3000 bottes du groupes.
Comment?
La CUMA vient d’embaucher un salarié qui peut venir conforter l’organisation des chantiers lors de surcharge de travail.
La gestion de la main-d’œuvre est comptabilisée avec une banque d’entraide en lien avec la CUMA. Un système de mutualisation est mis en place pour permettre à chacun de disposer du foin de bonne qualité si la météo ne permet pas de garantir à tous le bon déroulement des foins.
Le partage:
Le fonctionnement d’une CUMA employeuse de main-d’oeuvre durant la période cruciale de la récolte des foins vous intéresse et vous envisagez le recrutement d’un salarié au sein de votre structure, je vous propose de partager mon expérience pour faciliter votre projet.
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