De petits élevages comme diversification
Limiter les interventions
Didier souligne qu’il est largement possible de diminuer considérablement les phytosanitaires tout en conservant de bons rendements, dans la mesure où la personne fait preuve de réactivité. En effet, il faut en permanence se tenir prêt à intervenir en cas de besoin. Didier fait donc preuve d’une grande surveillance pour limiter au maximum les intrants. Un travail préalable est nécessaire pour arriver à maintenir une bonne production en terme de quantité, comme par exemple jouer sur la densité de semis.
Volailles de plein air
En passionné d’élevage, Didier a eu des volailles qu’il élevait en plein air. Il privilégiait la diversité au sein de la bassecour, en se concentrant sur une petite production. Cette activité était également un bon moyen de valoriser son blé lorsque les prix étaient faibles. I l pourra néanmoins vous parler des difficultés auxquelles il a dû faire face, comme la grande fluctuation des ventes par exemple. La gestion des débouchés (avoir ce que le client désire, au moment où il le désire) n’est pas évidente, et difficilement prévisible selon Didier. Aujourd’hui il élève encore des volailles, mais à plus petite échelle.
Abeilles
Didier a aussi des ruches, pour le plaisir de donner quelques pots de miel qu’il aura pu récolter durant l’année. Il a pu semer des plantes melifères, et va construire ses propres ruches, assurant ainsi le gîte et le couvert à ses abeilles.
Travail et vie de famille
Didier pourra vous faire part de son expérience relative au travail en couple. La charge de travail cumulée au fait d’être ensemble de manière constante peut en effet créer des tensions, et avoir des répercussions sur la vie de famille.
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